LES HISTOIRES EROTIQUES

Quand le sexe devient appétissant

...

Au moment de nous rendre à l’hôtel, ma soupirante opposa un refus. C’est là qu’elle me fit savoir qu’elle n’aime pas baiser dans les hôtels. «Soit chez moi, soit chez toi.» Me dit-elle. Chez moi, ce ne serait pas une bonne idée puisque je vivais en famille ensuite, je partageais ma seule chambre avec plusieurs. Aussi ne pouvais-je pas prendre le risque de m’aventurier chez elle. Je n’étais pas bien situé sur sa relation avec le père de son enfant alors je préférai éviter les surprises désagréables. Les deux propositions ne m’enchantèrent guère. Alors, je tins à la réaccompagner chez elle puis rentrer chez moi. Martina eut une petite idée dans la tête. Je l’ignorai. Une chose fut certaine, elle rendit possible l’une des impossibilités sans que j’y voie un danger.   

    A l’entrée de son immeuble, elle me supplia de monter saluer son fils et sa servante qui rêvait me voir, car elle lui parla de moi. Sous son insistance, je fus contraint de monter. Elle habitait dans un studio du type américain au deuxième étage. Elle m’installa dans son balcon qui faisait face à l’extérieur mais parsemé de pénombre, le temps qu’elle s’échange pour me raccompagner. J’attendais 
sereinement sur la chaise où elle m’installa lorsqu’elle m’y rejoignit plus tard dans une tenue légère qui laissait transparaître son string. Elle s’assit sur moi...A SUIVRE DANS "UNE INTIMITIE RANCUNIERE"